A Kigali la trouille gagne de plus en plus du terrain. La faute à Karenzi Karake qui s'est fait coffrer. Et si on éliminait ce useless? Voilà le danger qui guette le Général Karenzi Karake aujourd'hui.
Il est considéré comme un pestiféré dans un pays qu'il a "libéré" en risquant sa vie. Qu'il soit transféré en Espagne ou qu'il retourne au Rwanda, cela ne change rien à l'opinion qu'a Afandi et ses sbires ( qui lui restent fidèles et pour combien de temps) qu'ils ont à son égard.
L'homme est soupçonné par la police afandienne d'avoir craché un morceau. Il est devenu IKIGARASHA qu'il faut éliminer à tout prix.
Eh oui, ça se passe comme ça dans le goulag afandien. Tu sers et lorsque tu n'arrives plus à servir dans l'intérêt de la confrérie afandienne, tu meurs comme ceux-là même que tu as fait mourir sur ordre d'Afandi.
Et pourtant, ce que j'aime chez Afandi ( il faut que j'aime au moins un petit quelque chose chez lui), c'est qu'il dit toujours ce qu'il pense. Ne vous a-t-il pas dit que lorsque vous tuerez en son nom, il n'hésitera pas une seconde à dire qu'il ne vous connait pas? Qu'il ne vous a pas mandaté?
Aujourd'hui, le plan pour éliminer Karenzi Karake est arrêté. Son arrêt de mort est déjà signé. Le tout c'est de savoir quand et surtout comment.
Et ce qui est bizarre dans cette histoire, c'est que même s'il était libéré et s'il retournait au Rwanda, cela ne changerait pas la donne. L'homme est, d'ores et déjà, soupçonné d'avoir craché le morceau.
Ainsi va le goulag afandien qui est comparable au scorpion qui se bouffe petit à petit jusqu'à ce que mort s'en suive. L'autodestruction est en marche. Le ver est dans le fruit, avais-je écrit. Le fruit est maintenant pourri. Il ne va pas tarder à tomber. C'est une question de temps.
Par Shankuru Maurice (MS), forum DHR, 07/07/2015
Il est considéré comme un pestiféré dans un pays qu'il a "libéré" en risquant sa vie. Qu'il soit transféré en Espagne ou qu'il retourne au Rwanda, cela ne change rien à l'opinion qu'a Afandi et ses sbires ( qui lui restent fidèles et pour combien de temps) qu'ils ont à son égard.
L'homme est soupçonné par la police afandienne d'avoir craché un morceau. Il est devenu IKIGARASHA qu'il faut éliminer à tout prix.
Eh oui, ça se passe comme ça dans le goulag afandien. Tu sers et lorsque tu n'arrives plus à servir dans l'intérêt de la confrérie afandienne, tu meurs comme ceux-là même que tu as fait mourir sur ordre d'Afandi.
Et pourtant, ce que j'aime chez Afandi ( il faut que j'aime au moins un petit quelque chose chez lui), c'est qu'il dit toujours ce qu'il pense. Ne vous a-t-il pas dit que lorsque vous tuerez en son nom, il n'hésitera pas une seconde à dire qu'il ne vous connait pas? Qu'il ne vous a pas mandaté?
Aujourd'hui, le plan pour éliminer Karenzi Karake est arrêté. Son arrêt de mort est déjà signé. Le tout c'est de savoir quand et surtout comment.
Et ce qui est bizarre dans cette histoire, c'est que même s'il était libéré et s'il retournait au Rwanda, cela ne changerait pas la donne. L'homme est, d'ores et déjà, soupçonné d'avoir craché le morceau.
Ainsi va le goulag afandien qui est comparable au scorpion qui se bouffe petit à petit jusqu'à ce que mort s'en suive. L'autodestruction est en marche. Le ver est dans le fruit, avais-je écrit. Le fruit est maintenant pourri. Il ne va pas tarder à tomber. C'est une question de temps.
Par Shankuru Maurice (MS), forum DHR, 07/07/2015